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À "l'aube" - 70! L'histoire, que nous écrivons

«Nous aspirions à écrire de manière que chaque mot appelle au combat pour la Patrie natal»

Dans les années du militaire likholet'ya "l'Aube" a arrêté provisoirement la sortie, mais dans le 1943 journal a rappelé à pleine voix, étant devenu un puissant instrument dans la lutte contre les hitlériens sur le territoire occupé.

"L'Aube" de partisans était publiée à ourotchichtche Khovanchtchina de la région Ivatsevitchsky. Les journalistes faisaient la guerre avant tout bref, au maximum qui, autant une large et puissante envergure sera acceptée par la lutte publique avec les hitlériens par notre terre en plusieurs cas dépendait. Sur le nom du journal il y avait des mots : «la Mort aux occupants nazis!», et dans le coin droit supérieur : «A lu - transmettre à l'autre».

«L'affaire d'honneur de chaque patriote le jour, la nuit ne pas donner le repos aux occupants, les écraser dans les garnisons, sur les chemins, faire aux fascistes le gramme du pain, sauver la jeunesse du vol à l'esclavage. Les fascistes sont venus sur notre terre comme les asservisseurs. Qu'elle devienne la tombe pour les hitlériens maudits».

"L'aube", le 5 mai 1943

C'est le fragment du numéro un de "l'Aube" clandestine. Un grand intérêt dans lui chez les lecteurs a provoqué le document sur le combat pour Kossovo. Ici les détachements du nom de ChTcHorsa, le nom de Dimitrova, le nom de Vorochilova ont détruit une grande garnison ennemie, ont supprimé les renforcements militaires, les stocks avec les munitions, l'arme. Quelques jours la ville se trouvaient dans les mains le maquisard. Ils ont distribué à la population beaucoup de produits de l'alimentation, matériaux de construction pris chez les fascistes. Les habitants de Kossovo ont rencontré joyeusement les libérateurs, leur donnaient l'aide nécessaire. Les dizaines des adolescent et les jeunes filles ont prêté le serment de partisans pour lutter des occupants à victoire complète. Dans d'autres correspondances, les notes, les informations se communiquait sur les actions le maquisard du détachement du nom de TcHapaeva sous Kobrynom, la destruction par ceux-ci sur la chaussée de trois autos allemandes. À eux ont péri 20 soldats.

Et voici le fragment du livre «du coeur vers le coeur», "l'Aube" clandestine écrite par le rédacteur par Vasily Kaliberovym sur ces jours terribles :

«Bientôt après la sortie du numéro un à la rédaction ont commencé à entrer les rappels des lecteurs. L'opinion exprimaient non seulement les maquisards, les militants clandestins, mais aussi la population des villes et les villages. Les patriotes, qui bien que ne se trouvaient pas dans les détachements, soutenaient toujours le maquisard, vivaient avec leurs idées et les sentiments, répondaient chaleureusement sur l'appel du journal. Sous ce rapport est assez intéressant un tel cas. Une fois j'avec les maquisards-propagandistes suis venu au village de Zditovo Berezovsky de la région. Nous avons raconté des derniers événements, la position sur les fronts et ont transmis aux paysans le journal"l'Aube". Un vieillard l'a touché, a regardé la date et, ayant souri joyeusement, a dit :« Oui, c'est notre journal natal. Nous entendons le mot natal de la vérité ». Quand les gens ont lu le journal et le tract, chez plusieurs sur les yeux ont brillé les larmes radoskti.

La nouvelle sur la sortie du journal régional a volé autour vite de toutes les régions, les villages et les villes de Bresttchiny. Son apparition a été l'événement joyeux encourageant : approche l'heure de la libération. En même temps à stane l'ennemi cet événement a provoqué le tumulte. Les occupants ont produit le tract, dans lequel écrivaient que "l'Aube" est publiée non sur le territoire du domaine De Brest, et à Moscou que le journal est couvert ici par les avions que les Comités régionaux KP () et le Komsomol non plus existent.

- Voici brekhouny, - riaient les maquisards et les habitants des villes et les villages. - rien, bientôt les fascistes sentiront encore plus la colère publique, seront obligés de reconnaître non seulement l'existence de "l'Aube" et le comité régional du parti clandestin, mais aussi la destruction personnelle.

Selon le graphique établi sont sortis les deuxièmes troisièmes quatrièmes numéros. Ils n'étaient pas semblables un à l'autre. Dans chacun on conduisait les paroles sur quelque chose nouveau, caractéristique, actuel, urgent. Nous aspirions à écrire de manière que chaque mot appelle au combat pour la Patrie natal ».

***

«Nous n'oublierons jamais l'exploit le maquisard du détachement du nom de TcHapaeva. Les Allemands par la grande force ont avancé sur notre village pour supprimer la récolte qui a mûri sur les champs, prendre le bétail, brûler le village, voler à l'Allemagne la jeunesse. Il Semblait, personne ne se sauvera, tous périront. Il y avait un miracle. Les maquisards sont arrivés à temps brusquement, ont défendu de nous, n'ont pas lancé les fascistes au village. Nous savons que dans le combat pour le village ont péri plusieurs maquisards. Éternel par lui la gloire. Avec l'impatience nous attendons la libération».

De la lettre à la rédaction de "l'Aube" des habitants d. Les borchtches de la raïon de Kobryn.

***

«Enfin se sont déployés les événements longtemps attendus. La rencontre joyeuse inquiétant de Brest le maquisard avec les combattants de l'Armée rouge marque par elle-même non seulement la libération du domaine, mais aussi la sortie sur les frontières, par qui commencera une puissante arrivée de l'Armée rouge héroïque vers l'ouest».

"L'aube", juillet 1944.

***

«Cela, de que nous rêvions s'est accompli, pour quoi luttait. Brest est libre! L'exploit, qu'ont fait nos libérateurs, les maquisards, ne s'obscurcira jamais. La Gloire éternelle aux héros qui sont tombés dans les combats pour la Patrie!»
Du tract imprimé en juillet de 1944 à la rédaction de "l'Aube".

À "l'aube" - 70! L'histoire, que nous écrivons//l'Aube. – 2009. - le 26 mai. – S 4. De la lettre à la rédaction de "l'Aube" des habitants d. Les borchtches de la raïon de Kobryn en 1943

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