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Nos correspondants

… la Rédaction avait le support solide en la personne des chefs des zones de partisans de S.F.Poteroukhi (les régions Kossovsky, Roujansky, Cherechevsky, Porozovsky), 3. F.Poplavsky (les villes de Brest, les régions Domatchevsky, Maloritsky, Jabinsky), A.I.Fedosjuk (les régions Antopol'sky, Kobryn, Divinsky). En étant les membres et les mandataires du comité régional du parti, ils croyaient devoir constamment soutenir avec la rédaction l'union intime. Si se planifiaient de ces places les documents nécessaires, nous nous adressions toujours à ceux-ci après l'aide. À n'importe quelle situation, malgré un grand emploi, ils trouvaient le temps pour accomplir la demande de la rédaction, causer avec ses collaborateurs, partager dans le journal les observations, exprimer les propositions concrètes, les conseils.

Je peux me référer à un tel exemple. Quelque peu à la rédaction, excepté moi et les compositeurs, il ne se trouva personne. Les correspondants Pripotnev, Sirotin se trouvaient dans les détachements. Leur retour s'attardait un peu, et cela éloignait la remise à l'ensemble avant les documents planifiés. Comment se tirer d'affaire ? On peut, certes, remplacera par d'autres articles. Le stock se trouvait. On ne voulait pas violer cependant le plan du numéro. Heureusement, à la rédaction est venue d'Alexandre Ivanovna Fedosjuk.

- Est arrivée chez le secrétaire du comité régional du parti consulter pour une série de questions, - elle a dit. - malheureusement, il est absent, sera seulement demain. Il Faut attendre. Je pense, je passerai à la rédaction. Probablement, je pourrai être utile aux journalistes...

- Et encore comme! Racontez, s'il vous plaît que du novice, comme est travaillé. Alexandre Ivanovna disait tranquillement, sans se dépêcher, en réfléchissant à chaque mot. En se trouvant à Antopol'sky auparavant, elle a appris plusieurs affaires patriotiques, s'est produite dans plusieurs villages, les détachements, a fait connaître ljuda les derniers numéros de "l'Aube", les tracts. Les maquisards l'ont demandé d'écrire au journal régional sur leur vie, la lutte. Alexandre Ivanovna n'a pas oublié la demande, la rédaction a reçu d'elle quelques documents à de différents sujets. Un d'eux, après la correction insignifiante, est allé au numéro se préparant. Dans lui, ainsi, ont trouvé la réflexion tous les sujets planifiés …

… on passait Partout le travail efficace massovo-politique. Dans les détachements, les villages les propagandistes, les rapporteurs se produisaient. On utilisait largement les tracts, les journaux muraux. Particulièrement il y avait souvent des tracts, la caricature à Aptopole, à Gorodtse. Les caricatures des occupants étaient dessinées par les maquisards Anatoly Kozel, Vasily Ljudtchits. Les tracts écrivaient le secrétaire du comité de district, ainsi que ses autres travailleurs. Les militants clandestins couvraient la littérature de propagande même aux casernes, où il y avait des Serbes trompés par les fascistes et les Magyars. Plusieurs d'eux ont passé bientôt sur la partie le maquisard et avec eux écrasaient les fascistes.

Dans chaque village le comité de district avait les adjoints de combat - les groupes patriotiques. À eux était compté selon 10 - 20 personnes - les députés des Conseils locaux, les kolkhoziens les plus actifs. Avec leur aide se préparaient et se réalisaient plusieurs opérations de combat, on obtenait les données de reconnaissance. Les maquisards du détachement du nom de Kirov au soutien de la population contrôlaient toute la région. Les garnisons ennemies se trouvaient seulement aux stations ferroviaires. Mais aussi ici les fascistes se sentaient comme sur le baril de poudre.

Le document de la région Antopol'sky a fixé à lui-même l'attention. Se lui sont intéressés les maquisards locaux et les habitants, ainsi que les gens des autres régions. Plus tard A.I.Fedosjuk du nom et de la part de la rédaction s'est produite dans nombre des détachements et les villages avec l'information sur l'activité de la rédaction du journal clandestin, a fait connaître aux lecteurs nos plans créateurs, a conseillé à plusieurs, comme sur quoi écrire. L'effet a surpassé toute attente. Des régions, où Fedosjuk passait le travail illégal, ont commencé plus souvent à entrer les lettres des lecteurs. Leurs sujets - le plus divers. Uns écrivaient de l'aide de la population aux maquisards, les autres - sur les opérations de combat des vengeurs nationaux, troisième - sur le travail massovo-politique et etc.

La variété de la poste éditoriale a permis par la suite d'établir dans le journal la rubrique constante : «les correspondants non titulaires nous communiquent». L'information se groupait selon les régions. Dans un numéro, par exemple, d'Antopol'sky, les messages se plaçaient dans l'autre - de Kobryn, à troisième – de Divinsky des régions et etc. ainsi s'élargissait graduellement la géographie du journal, s'affermissait son contact avec les masses. Elle parlait chaque jour au peuple, influençait son esprit, l'humeur, aidait à unir les gens, comprendre la responsabilité devant le pays, définir la place de chacun dans la situation créée militaire.

Dans le journal se produisait, en général, celui qui avait sur ce droit moral, qui par toute la vie, la lutte prouvait tous les jours l'amour ardent, le dévouement au Pays des Conseils, qui de tout mon coeur, tout le coeur détestait l'ennemi. Voici à celui-là les lecteurs s'intéressaient au journal, lui croyaient. Voici à celui-là grandissaient son autorité, la force de l'influence. D'une haute tribune se faisaient entendre les mots, ces appels, qui exprimait le plus complètement et exactement les intérêts des masses, activement et luttait successivement pour l'acquisition des objectifs communs.

On veut compléter dans cette connexion la caractéristique d'Aleksandry Ivanovna Fedosjuk. De lui-même raconter elle aimait pas trop. En apparence particulièrement par rien ne se détachait pas. Le regard un peu pensif à peine malicieux, la voix molle tendre. Les paroles lentes. La femme possédait l'art d'observer, saisir l'essentiel, généraliser, commenter les événements, la situation, persuader. Si conseillait, apprenait, de l'âme, de la profondeur du coeur. Non par hasard les gens la croyaient, allaient après elle. Et non seulement dans les années de la guerre. Encore plus tôt - par temps bourjouazno-pomechtchitch'ej de la Pologne - elle s'est montrée le propagandiste passionné, le propagandiste. Quelque peu les compagnons selon la clandestinité lui ont demandé :

- Que t'a obligé, d'Alexandre Ivanovna, partir ici, à l'intérieur de l'ennemi, se mettre au travail très difficile pas trop féminin ? En effet, pouvait vivre et l'arrière soviétique, élever là la fille unique.

- Comment vous pouvez dire un tel ? - Avec l'offense elle a demandé. - j'avant tout le communiste, ma place ici, mais peux chômer, je veux lutter, défendre le bonheur de la fille. La victoire - mon but. Je me sens heureux, utile au peuple parce que je me trouve parmi lui, avec lui je divise ses misères et la joie ….

Les rencontres des patriotes aux pages de "l'Aube" clandestine étaient toujours populeuses, joyeux et anxieux, d'affaires et restant dans la mémoire. De cette tribune haute et honorable les combattants se produisaient comme les chefs, et ordinaire. Ils racontaient d'eux-mêmes, les compagnons, sur les moyens de l'acquisition du but, la réalisation des tâches. Des travailleurs de la rédaction, les lecteurs l'apparition de chacun moiogo toujours réjouissait l'auteur, chaque nouvel article, la note, l'information.

Aujourd'hui je me rappelle respectueusement, avec quel sens des responsabilités immense se rapportaient à la coopération dans le journal le commandant de la compagnie des sapeurs mineurs partizasnkoj les équipes du nom de Ponomarenko …

… le Chef de l'état-major de la liaison de P.V.Pronyagin a communiqué la rédaction sur l'exécution de la mission de combat responsable par le groupe le maquisard du détachement du nom de TcHapaeva. Son information a été la raison pour l'orthographe de la note «l'Explosion à Kobryn» (l'ont imprimé le 15 août 1943). Le feu supprimait 42 tonnes de benzine, 53 tonnes de pétrole, 20 tonnes de lubrifiant pour autos et solidola.

L'activité de correspondant des militants s'appréciait haut par le journal, ainsi que le grand public des lecteurs …

Kaliberov, S. F. Nos correspondants / V.F.Kaliberov//du coeur vers le coeur / V.F.Kaliberov. – Minsk : la Biélorussie, 1981. – Gl. 6. – S 42 – 46. Les souvenirs du rédacteur ancien du journal régional clandestin "l'Aube" sur la direction du comité régional du parti clandestin par la guérilla, à y compris et sur raïon de Kobryn, sur le membre du Comité régional d'A.I.Fedosjuk.

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